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Il y a toujours l’endroit et l’envers du décor…

 

La beauté sublimée nous fait passer de l’autre côté du miroir.

Les vides se remplissent de lumière, les pleins sont déliés nous entrainant dans la course folle des couleurs : vers leur sens caché abstrait.

De l’infiniment grand à l’angstroem… Notre spectre visuel sonde-t-il cet univers qui nous dépasse ?

De quel regard le laissons-nous l’effleurer et se poser, enfin, sur une merveille non identifiable- ou, si peu? Méconnaissable – et, tant mieux !

 

Cet « imperceptible » de la matière me bouleverse car je m’y reconnais.

 

"Je cherche un monde unifié dans mon oeuvre et j'utilise un tourbillon en mouvement pour y parvenir."

Mark Tobey
 

 

 

POURQUOI parler sur la Peinture ?

 

Elle ose

 

Elle pénètre

 

Elle brave les codes de l’équilibre

 

Recherche le non-sens, le non-vu, l’entrevue

La fine part qui existe- le « caché »

L 'essentiel à nos yeux : l’extase

A, chacun d’en découvrir le Sens – l’Essence…

 

Etrange densité de la couleur : elle se risque et vibre, elle se coule en cherchant son chemin… parfois elle se cabre mais en prenant l’espace.

Elle fluidifie nos blessures de l’ombre, étouffées

Défie la violence affirmée, nous laissant vulnérables, épuisés….Mais aussi,

Elle s’épanouit en béatitudes… BEATITUDES…

Elle est alors, rencontre sensuelle, en un ballet inccessant, presqu’à en perdre le souffle ; cherchant ce partenaire qui permettra ce pas de deux,

Envolée lyrique, parfois saccadée enfin, y trouver l’harmonie…

Aller jusqu’à l’épure, le silence… on n’offre après tout que « soi »… libéré de l’emprise de la raison.

Ne rien justifier car il convient dans sa propre quête de libérer l’ombre et tendre vers l’infini de la vie.             

 

MJ de LA CHAISE

 

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